Calern accueille le PNR des Préalpes d’Azur, l’ADEME et de nombreux maires contre la pollution lumineuse
Le samedi 10 octobre 2015, à l’initiative du Parc Naturel Régional des Préalpes d’Azur, les maires de trois communes ont signé une charte avec l’ADEME, pour signifier leur engagement en faveur de la réduction de la pollution lumineuse et des économies d’énergie. L’Observatoire de la Côte d’Azur a tout naturellement accueilli, sur le plateau de Calern, cet acte symbolique qui vient montrer les efforts déjà réalisés par les municipalités de Saint-Cézaire, Cipières et Spéracèdes. La date n’était pas choisie par hasard puisqu’il s’agissait du "Jour de la Nuit" organisé depuis 2009 et dont l’objectif est de sensibiliser à la pollution lumineuse, à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé.
A cette occasion le PNR Préalpes d’Azur avait invité les 45 communes de son territoire à participer à une manifestation ponctuée d’une randonnée, d’une conférence, d’un buffet bio et de contes accompagnés de harpe... La soirée s’est conclue autour de télescopes et d’observation du ciel. De nombreux maires étaient présents et ont exprimé leur intérêt pour cette démarche. Les astronomes, amateurs comme professionnels, s’en réjouissent.
De gauche à droite : Gilbert Taulane de Cipières, Claude Leblanc de Saint-Cézaire,
Joël Pasquelin de Spéracèdes
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La 24e édition de la Fête de la Science 2015 se déroulera :
du Mercredi 7 au Dimanche 11 octobre 2015
Rendez-vous incontournable de la Fête de la Science, la 11ème édition du village des sciences de Valrose se déroulera dumercredi 7 octobre au samedi 10 octobre, au cœur du Parc Valrose à Nice (jeudi et vendredi pour les scolaires / mercredi et samedi pour le GP) : + d’info
Comme d’habitude, l’Observatoire de la Côte d’Azur y aura un stand qui présentera les différents axes de recherche menés au sein de ses laboratoires. Des ateliers seront proposés en fonction de l’âge des visiteurs :
"Jouons avec la lumière pour découvrir les secrets de l’Univers : Le stand de l’Observatoire de la Côte d’Azur présentera les différents axes de recherche menés au sein de ses laboratoires. Des ateliers autour de la lumière seront proposés aux classes de collégiens et lycéens. En jouant avec la lumière et en l’analysant, nous montrerons comment elle nous apporte de l’information sur les phénomènes astronomiques."
Pour la 3ème année consécutive, l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer (OOV) invite les scolaires et le public, du 7 au 11 octobre, à la découverte de ses locaux et de ses principaux sujets d’étude qui vont de la biologie marine à l’océanographie, de la cellule aux océans du monde entier (robotique marine, méduses, micro algues, fécondation d’oursin, larves de poissons, etc.) : + d’info
Opération phare de cette édition 2015, le Village des Sciences et de l’Innovation, organisé au Palais des Congrès d’Antibes Juan-les-Pins, les 10 et 11 octobre, se veut être une véritable vitrine de Sophia Antipolis à travers plus d’une cinquantaine d’animations, stands, expérimentations, causeries qui permettront de mesurer et d’apprécier la qualité des travaux des laboratoires de recherche publics et privés, des entreprises, des startups et des clubs scientifiques de la technopole :+ d’info
L’Observatoire de la Côte d’Azur y aura un stand qui présentera les différents axes de recherche menés au sein de ses laboratoires. Des ateliers seront proposés en fonction de l’âge des visiteurs. Un parcours autour de la Lumière sera notamment proposé aux visiteurs dans le cadre de l’Année internationale de la Lumière :
"Jouons avec la lumière pour découvrir les secrets de l’Univers : Le stand de l’Observatoire de la Côte d’Azur présentera les différents axes de recherche menés au sein de ses laboratoires. Des ateliers autour de la lumière seront proposés aux classes de collégiens et lycéens. En jouant avec la lumière et en l’analysant, nous montrerons comment elle nous apporte de l’information sur les phénomènes astronomiques."
Tout le programme sur les Alpes-Maritimes : persan.asso.fr
Dans le cadre de la semaine de l’astronomie à Nice du 22 au 30 avril 2015, un atelier informatique d’observation du ciel a été proposé par Pierre Cruzalèbes, président de l’association Provence Sciences Techniques Jeunesse (PSTJ) et chercheur à l’Observatoire de la Côte d’Azur (OCA).
L’atelier s’est déroulé dans le Cyber-Espace du Vieux Nice. Pendant deux heures, les curieux qui se sont présentés ont pu être initiés à l’utilisation du logicielStellarium, un planétarium open source et gratuit. De cette manière, une dizaine de personnes ont eu l’occasion d’apprendre à manipuler le logiciel en direct sur les ordinateurs mis à disposition du public. Pierre Cruzalèbes accompagnait toute la salle grâce à un vidéoprojecteur en expliquant pas à pas les étapes pour observer les corps célestes.
Le logiciel Stellarium dispose de nombreuses fonctions. Il simule le ciel en l’absence d’atmosphère, permettant ainsi de voir les objets célestes habituellement invisibles à l’œil nu à cause de la luminosité du soleil. Il est alors possible de zoomer sur les étoiles et planètes, comme si on les regardait à travers des jumelles ou un télescope. Une multitude de données sur l’objet visé sont indiquées comme sa luminosité, la distance qui le sépare de la Terre, son angle dans le ciel, sa masse, etc.
© Stellarium |
Plus qu’un logiciel pour se balader à travers les étoiles, Stellarium permet de créer les conditions idéales d’observation en retirant la brume ou encore la couche d’illumination. Dans notre ciel virtuel, les tracés des constellations apparaissent accompagnés de leur nom, des repères célestes (méridien, équateur, écliptique), des coordonnées azimutales, etc. Et le temps n’y est pas figé puisqu’il est possible de découvrir l’aspect du ciel étoilé à différentes époques passées ou futures et de revivre certains phénomènes astronomiques (l’éclipse du 20 mars dernier par exemple).
Le 20 mars 2015, une éclipse solaire partielle a eu lieu en France dans la matinée. Ce phénomène astronomique rare et d’une beauté sans précédent n’était à manquer sous aucun prétexte !
De nombreux chercheurs de l’Observatoire de la Côte d’Azur sont intervenus dans 13 classes du département, dont 4 dans le cadre du dispositif ASTEP (Accompagnement en Science et Technologie à l’Ecole Primaire). De cette manière, les scolaires ont eu la possibilité d’observer l’éclipse en compagnie d’astronomes spécialistes, en toute sécurité à l’aide de lunettes adaptées et avec des explications pertinentes. "Ils se rappelleront de ce phénomène astronomique" !
L’Observatoire de la Côte d’Azur avait également mit en place une retransmission d’images en direct sur son site internet, prises par l’instrument PICARD-SOL. Elles étaient mises à jour toutes les minutes et ont permis aux internautes de contempler le phénomène depuis leur fauteuil, avec une qualité d’observation sans précédent.
© Guillaume Guiglion, laboratoire Lagrange (OCA-UNS-CNRS)
© Paul Girard, Ateliers de Mécanique
© Pier-Francesco Rocci, laboratoire Lagrange (OCA-UNS-CNRS)
Qu’est ce qu’une éclipse ?
Autrefois considérées comme présages de grands malheurs, les éclipses sont aujourd’hui des phénomènes connus et faciles à prédire pour les astronomes. Une éclipse solaire consiste à la disparition momentanée totale ou partielle du Soleil, due au passage de la Lune qui le cache à la vue d’un observateur positionné sur la Terre. Il existe trois types d’éclipses : totale lorsque que le Soleil est entièrement occulté par la Lune ; partielle si la Lune ne cache qu’une partie du Soleil ; annulaire quand le diamètre apparent de la Lune est inférieur à celui du Soleil et ne masque pas entièrement ce dernier.
Lorsqu’on regarde dans le ciel, le Soleil et la Lune semblent mesurer la même taille. Pourtant, le soleil a un diamètre de 1 400 000 kilomètres tandis que celui de la Lune est de 3 476 kilomètres. Donc cette dernière est 400 fois plus petite que le Soleil. Alors comment la Lune peut-elle cacher le Soleil lors d’une éclipse totale ? Par une étrange coïncidence, la Lune est aussi 400 fois plus proche de notre planète au cours d’une éclipse. Son diamètre apparent vu de la Terre coïncide donc pratiquement avec celui du soleil. La Lune est alors capable de cacher notre Etoile.
Où et quand observer l’éclipse du 20 mars ?
Le point central de cette éclipse se trouve au milieu de l’océan Atlantique Nord. La grande zone d’ombre (bande de totalité) débute au sud du Groenland, puis traverse la mer de Norvège et la mer du Groenland pour prendre fin au niveau du pôle Nord. L’éclipse totale ne sera visible que pour ceux qui l’observeront des îles Féroé et au Spitzberg dans l’archipel du Svalbard. Cependant, elle sera visible sous forme partielle dans toute l’Europe, au nord du continent africain et au nord-ouest de l’Asie.
En France métropolitaine, l’éclipse se déroulera entre 9h10 et 11h50 (heure de Paris) et le pourcentage du diamètre solaire caché par la Lune ira de 58 % en Corse à près de 82 % dans le nord-ouest de la France, les côtes de la Manche seront des endroits privilégiés. A Nice, il approchera 63% au maximum, à 10h30 (source : IMCCE - Institut de Mécanique Céleste et de Calcul des Ephémérides).
Comment l’observer ?
Ce spectacle doit être observé avec prudence, regarder une éclipse à l’œil nu peut causer de graves lésions à la rétine. Le Soleil émet plusieurs sortes de rayonnements (lumière visible, infrarouges, ultraviolets, rayons X et rayons gamma) qui peuvent être nocifs lorsque les yeux sont trop exposés à sa luminosité. Pour observer une éclipse, les lunettes de soleil sont à proscrire, car elles ne protègent pas les yeux des rayonnements infrarouges, les plus dangereux pour la rétine. Il est alors vivement conseillé d’utiliser une paire de lunettes de protection spéciale éclipse portant le label CE (Certification Européenne). Elles sont vendues en pharmacie, dans les clubs ou associations d’astronomie, ou encore dans les magasins d’optique spécialisés.
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Le 20 juin dernier, le plateau de Calern a été littéralement pris d’assaut par plus de 3000 visiteurs venus profiter de la Nuit Coupoles Ouvertes. Cette manifestation, proposée tous les deux ans par l’Observatoire de la Côte d’Azur, a remporté un grand succès grâce à la modibilisation générale des personnels de l’observatoire, bien aidé également par la météo... Une douzaine d’associations d’astronomes amateurs est venue prêter mains fortes aux chercheurs qui avaient ouvert, pour l’occasion, leurs instruments au grand public. Les participants, petits et grands, ont donc pu suivre des conférences, visiter les télescopes, assister à un tir laser sur la Lune, regarder les étoiles et les planètes (Vénus, Jupiter...)... Un programme était totalement dédié aux plus jeunes avec des ateliers sur la lumière, des conférences adaptées, des constructions de fusée à eau, des jeux sur les constellations...
De gauche à droite : Jean-Pierre Rivet, chargé de recherche CNRS, responsable scientifique du plateau de Calern, Thierry Lanz, directeur de l’Observatoire de la Côte d’Azur, Gilbert Hugues, maire de Caussols, Farrokh Vakili, astronome, directeur de l’OCA jusqu’au 30 juin 2015, Philippe Castanet, sous-préfet des Alpes-Maritimes, Gilbert Taulane, maire de Cipières, Philippe Mussi, conseiller régional PACA. © Hervé De Brus
De nombreux partenaires ont tenu à exprimer leur soutien à l’Observatoire de la Côte d’Azur à l’occasion de cette manifestation. Gilbert Taulane, maire de Cipières, Gilbert Hugues, maire de Caussols, Philippe Mussi, conseiller régional PACA, Philippe Castanet, sous-préfet des Alpes-Maritimes, ont honoré de leur présence l’inauguration de cette 18e édition de la Nuit Coupoles Ouvertes.
Et si vous avez raté cet événement, prenez date pour la 19e édition en juin 2017 !
et l’Office National des Forêts, Natura 2000, Conservatoire d’Espaces Naturels PACA et le Parc naturel régional des Préalpes d’Azur.
Et l’aide des clubs amateurs :
Polaris 83 - Aquila - Copernic - A2S - Astrospace - Astrosurf - SACA - Spica - GAPRA - PSTJ - ANPCEN - Le Cosmophile -Cassini 83 - Planétarium Valéri - VEGA - Observatoire du Pic des Fées
Le 20 décembre 2013, l’Organisation internationale des Nations Unies (ONU) a proclamé 2015 comme l’Année Internationale de la Lumière et des Techniques utilisant la lumière (AIL 2015) lors de la 68ème session de sa Conférence générale. Cette Année Internationale est une initiative d’un consortium rassemblant un large panel d’institutions scientifiques en partenariat avec l’UNESCO. De nombreux acteurs d’horizons différents se sont regroupés pour l’occasion tels que la communauté scientifique, le monde de l’enseignement, les plateformes technologiques, les organisations à but non lucratif et des partenaires du secteur privé.
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Logo de l’Année Internationale de la Lumière |
L’Année Internationale de la lumière vise à sensibiliser les citoyens du monde sur l’importance de la lumière et des technologies qui y sont associées tels que l’optique dans leur vie quotidienne. La lumière participe au développement de la société, elle apporte des solutions aux grands défis contemporains que sont l’énergie, l’éducation, la communication, l’agriculture, l’industrie, la culture et la santé. La lumière a donc un rôle crucial dans diverses disciplines transversales du 21ème siècle.
Ce large spectre de domaines concernés par la lumière et ses applications permet une mobilisation importante d’acteurs issus de la culture scientifique et technique, de l’art et l’architecture, de l’histoire et l’archéologie, ou encore de l’astronomie, en passant par la santé, la philosophie et la sociologie. De nombreuses institutions sollicitent le Bureau exécutif du Comité National d’Optique et de Photonique (CNOP) pour obtenir le label et communiquer leur programme autour du thème de la lumière.
Tout au long de l’année et partout dans le monde seront organisés une multitude d’évènements : conférences techniques et scientifiques, colloques, expositions, manifestations artistiques, mise en place d’outils pédagogiques, opérations de vulgarisation scientifique, visites de sites (culturels, industriels, scientifiques et techniques), rencontres avec le jeune public, etc.
L’année Internationale de la Lumière commémorera de nombreux anniversaires qui auront lieu en 2015, depuis les premières études sur l’optique réalisées par Ibn Al-Haytham il y a 1000 ans durant l’Âge d’or islamique, jusqu’à l’apparition en 1965 de la technologie de fibre optique aujourd’hui appliquée à Internet.
> En 1815, Augustin Fresnel a publié son premier ouvrage introduisant la théorie de la lumière comme une onde.
> En 1865, James Clerk Maxwell a décrit avec rigueur la théorie électromagnétique dynamique de la lumière.
> En 1915, Albert Einstein, qui a élaboré la théorie de la relativité générale, a montré comment la lumière était au centre de la structure même de l’espace et du temps.
> En 1965, Arno Penzias et Robert Wilson ont découvert le fond diffus cosmologique, un écho électromagnétique à la création de l’univers.
Pour en savoir plus sur l’Année Internationale dédiée à la lumière :
Site officiel de l’évènement : www.light2015.org
Site de l’Année de la Lumière en France : www.lumiere2015.fr
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L’Observatoire de la Côte d’Azur propose diverses activités à destination du grand public et des scolaires :
► 4 fév.- 5 avril : L’exposition "Beautés du Ciel et Phénomènes Cosmiques" et son cycle de conférences à la bibliothèque Louis Nucéra de Nice.
► 20 mars : L’accompagnement des chercheurs de l’OCA dans 13 classes départementales pour l’éclipse solaire.
► 20 mars : Son observation en direct depuis votre fauteuil.
► 19 mai : Conférence "L’espace, le temps et la lumière" par Bertrand Chauvineau à l’Alcazar à Marseille.
► 20 juin : La Nuit Coupoles Ouvertes sur le plateau de Calern à Caussols, avec un cycle de conférences sur la lumière.
► Septembre : Les journées du patrimoine
► Octobre : La fête de la science
Mercredi 4 février 2015, l’exposition « Beautés du Ciel et Phénomènes Cosmiques » a été officiellement inaugurée à la bibliothèque Louis Nucéra de Nice. Mr Jean-Luc Gagliolo, conseiller municipal délégué au Patrimoine et à la Culture, ainsi que Mme Françoise Michelizza, Conservatrice Générale et Directrice de la Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale (BMVR), ont mit l’accent sur le caractère à la fois esthétique et pédagogique de cette exposition.
Ce fut l’occasion d’assister à la conférence d’Albert Bijaoui, astronome émérite à l’Observatoire de la Côte d’Azur, ayant pour thème « L’Univers et son appréhension par l’image ». A travers des exemples piochés dans le domaine de la cosmologie, il a exposé l’impact de l’analyse des images numériques sur la compréhension de la physique des astres. La première photographie de la Lune, réalisée en 1840 par John William Draper, a apporté l’objectivité et la sensibilité dans la perception de l’Univers. Les progrès dans l’exploration cosmique, notamment avec la mise sur orbite du télescope spatial Hubble (HST), ont permis d’obtenir des clichés impressionnants du ciel tout en contribuant à des découvertes fondamentales (accélération de l’expansion de l’univers, existence de la matière noire et de l’énergie noire).
Une image étudiée par l’astronome Edwin Hubble va avoir un retentissement considérable dans la communauté scientifique, celle de la détection d’une étoile variable de type Céphéide dans la galaxie d’Andromède (M31). En utilisant la relation luminosité/période, il découvrit que cette nébuleuse se situait bien au delà de la Voie Lactée. Nous comprenons de cette manière en 1923 que l’espace est rempli non pas d’une, mais de plusieurs galaxies. La révolution du numérique va bouleverser la photographie, et puisque les appareils sont de plus en plus sensibles à la luminosité, la qualité des images est améliorée. Cette innovation sera alors introduite dans l’astronomie afin de faciliter leur visibilité et archivage. « L’astronomie est une science ouverte, tout le monde peut avoir accès à ces images », affirme Albert Bijaoui.
Pour en savoir plus : compte-rendu détaillé de la conférence inaugurale.
Cette exposition vous intéresse ? Cliquez ici.
L’exposition à la bibliothèque Louis Nucéra s’est achevée le 5 avril 2015.
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Le 1er octobre 2014 marquera le début de la 23° édition de la FETE de la SCIENCE des Alpes-Maritimes.
L’Université Nice Sophia Antipolis s’apprête quant à elle à inaugurer son 10e Village des Sciences.
Des manifestations se dérouleront jusqu’au dimanche 5 octobre dans le parc Valrose.
Comme d’habitude, l’Observatoire de la Côte d’Azur y aura un stand :
Le stand de l’Observatoire de la Côte d’Azur présentera les différents axes de recherche menés au sein de ses laboratoires.
Des ateliers seront proposés en fonction de l’âge des visiteurs.
Pour le public scolaire inscrit à cet évènement il sera proposé un atelier permettant de mieux comprendre les phénomènes cosmiques de notre Univers.
- Mercredi 1 octobre 14h - 17h : groupes centre aéré+grand public - ateliers + puzzles
- Jeudi 2 octobre 9h30 - 12h ; 13h30 - 17h : ateliers scolaires
- Vendredi 3 octobre 9h30 - 12h ; 13h30 - 17h : ateliers scolaires
- Samedi 4 octobre 11h - 17h : grand public - ateliers + puzzles + présentations de chercheurs
- Dimanche 5 octobre 11h - 17h : grand public - ateliers + puzzles + présentations de chercheurs
Nous espérons vous voir nombreux !
Pour plus d’informations : fds-valrose.unice.fr
Tout le programme sur les Alpes-Maritimes : persan.asso.fr