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L’Observatoire de la Côte d’Azur

est un EPSCP Grand Etablissement, « établissement composante » d'Université Côte d'Azur. L'Observatoire de la Côte d'Azur regroupe et pilote les activités de recherche en sciences de la Terre et de l'Univers d'Université Côte d'Azur. Ses missions sont la recherche, l'observation, la formation et la diffusion des connaissances dans ces domaines.

L'Observatoire de la Côte d'Azur est co-tutelle de trois unités mixtes de recherche ( Artemis, Géoazur, Lagrange) et d'une unité de service (Galilée) qui exercent leurs activités sur quatre sites répartis entre le site historique du Mont-Gros et le campus de Valrose à Nice, le campus du CNRS à Sophia Antipolis, et le site instrumenté du plateau de Calern sur les communes de Caussols et Cipières.
OCA NI 010654 W181 LACLARE CONTRIBUTION A LA RECHERCHE THESE 1  

Contribution à la recherche d'un site d'observatoire astrométrique
Thèse : Science : Faculté des Sciences de Paris :  5 dec. 1969

Auteur : Francis Laclare
Editeur : Imprimé à l'Observatoire de Paris.
Date : 1969
Pagination : 1 vol. ([III-134-67 ff.)
Cote : W181 / OCA-NI-010654

Mis en ligne le : 27/10/2023 (origine du doc. : OCA, bibliothèque de Nice Mont-Gros)
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 Conditions d'accès  : Accès restreint OCA 
     

Description : "En vue de l'implantation d'instruments nouveaux, notamment dans le cadre de l'astrométrie, un ensemble d'étude et d'expériences doit conduire à dresser le tableau des sites où l'on peut espérer un rendement optimal" ... "Les différentes campagnes conduites avec l'astrolabe se situent dans la 1ère phase de ce programme. Elles ont débuté en 1965 par l'implantation d'un instrument en Cerdagne, tandis qu'un autre astrolabe était mis en station dans les Hautes Alpes, près de Briançon. Ce dernier a servi successivement : à Nice ; dans la région de Montpellier ; en Vendée ; dans les Préalpes maritimes, près de Grasse . Simultanément à ces stations expérimentales, des observations régulières ont été assurées dans les observatoires permanents : Paris ; St Michel l'observatoire et Besançon. Le programme de travail que nous avons suivi est le suivant : 1. Bilan météorologique... - 2. Etude des résultats... - 3. Conclusion... " "L'ensemble de ce travail, qui doit servir de rapport quant à la contribution de l'astrolabe à la prospection des sites astronomiques sera présenté avant la fin de l'année 1969 "(introduction, p. I-II)

Sommaire : I. BILAN METEOROLOGIQUE - PARTIE 1. ELEMENTS METEOROLOGIQUES [p.0] - 1. Le Midi méditerranéen (p.2) - [1.1] Caractères généraux (p.2) - [1.2] Circulation et masse d'air (p.6) - [1.3] Perturbations (p.9) : Perturbations du golfe de Gênes  ; Perturbations des Baléares ; Perturbations du Nord Ouest de l'Afrique - [1.4] Statistiques météorologiques (p.11) : Nébulosité  - Précipitations (p.21)   - Vent (p.25) - Températures (p.34) - Humidité relative (p.41) - [1.5] Les sites prospectés : A. La Cerdagne (p.47) - B. Les Préalpes maritimes (p.58) - 2. L'ouest et la région parisienne (p.64) - [2.1] Caractères généraux (p.64) - [2.2] Masses d'air - [2.3] Perturbations - [2.4] Statistiques météorologiques (p.68) : Nébulosité - Précipitations - Vent - Températures - Humidité relative - PARTIE II. FREQUENCE DES NUITS UTILISABLES (p.93) - 1. Exploitation des statistiques (p.96) : variabilité de la nébulosité - Couverture moyenne et cas de faible nébulosité (p.99) - Systèmes nuageux et fréquence des nuits utilisables (p.102) - 2. Nébulosité dans les sites prospectés (p.112) - Préalpes méridionales (p.112) - Cerdagne (p.115) - Provence (p.119) - Hautes Alpes (p.121) - Vendée (p.121) - 3. Bilan des nuits utilisables (p.126) - [4. Annexes :] Régimes de Mistral et Tramontane et cas de Faible nébulosité (p.128) -  Bibliographie (p.130) : monographie de la météorologie nationale (p.130)  - Mémoriaux de la météorologie nationale (p.131) - Tableaux et figures (liste) (p.132) --  II. OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES  [p.0] : 1. GENERALITES [p. 2] : [1.1] Principe de l'instrument (p.3) - [1.2] Réduction et exploitation des résultats (p.5). - 2. RESULTATS  [verso p.8] -  [2].1  Observatoires permanents (p.9) : A.Résultats à Paris - B. Résultats à St Michel l'Observatoire (p.22). - C. Rendement à Besançon (p.29 bis) -  [2].2   Stations expérimentales (p.30) : Résultats en Cerdagne (p.30) - Résultats à Briançon (p.46)  - Résultats à Nice (p.49) - Résultats à Cassan (p.53)  - Résultats en Vendée (p.55) - Résultats à Caussols (p.58)  . - III. INTERCOMPARAISON DES SITES ET CONCLUSION  [entre p.61-62] - [3.1] Rendement annuel (p.62) - [3.2] Distribution de la qualité (p.64) - [3.3] Répartition saisonnière du rendemement.(p.65) - Conclusion (p.66) -- Références (p.67)

L’unité de recherche Artemis réunit des spécialistes des lasers et du traitement du signal, des mathématiciens, des astrophysiciens des objets compacts pour créer des antennes d’un type nouveau, détectant des ondes gravitationnelles : Virgo, LISA, Einstein Telescope.

La recherche sur les lasers de puissance, les mesures de distance extrèmes et la modélisation de sources cosmiques et de leurs signaux, les études multimessagers utilisant les ondes gravitationnelles sont au coeur de l’activité d’Artemis.

Le laboratoire Géoazur est une unité de recherche pluridisciplinaire composée de géophysiciens, de géologues, et d’astronomes se fédérant autour de grandes problématiques scientifiques : les aléas telluriques (sismiques, gravitaires et tsunamigéniques) et les risques associés, la dynamique de la lithosphère et l’imagerie de la Terre, la géodésie-métrologie de la Terre et de l’Univers proche.

Le laboratoire J.-L. LAGRANGE est un laboratoire pluridisciplinaire qui regroupe des équipes d’astrophysique (planétologie, physique stellaire et solaire, galaxies et cosmologie), de mécanique des fluides, de traitement du signal et images et d’instrumentation pour l’observation astronomique à haute résolution spatiale et haute dynamique.
Des compétences transverses en calcul à haute performance sont au coeur des capacités des équipes pour développer de nouvelles théories et modèles et de les confronter à des observations acquises sur les grands télescopes au sol et dans l’espace.

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